lundi 14 juillet 2014

Trailer version longue : 1min06 à ne pas manquer!

Si vous êtes whoviens, vous devez déjà être au courant de la nouvelle. Hier soir, mi-temps de la finale du mondial, la BBC a diffusé une version longue de la bande annonce de la saison 8 de Doctor Who!

Que pouvons nous alors dire de cette vidéo? Plein de chose à n'en pas douter. A propos de plein de choses, c'est aussi une évidence! Du nouveau Docteur, premièrement, de sa relation avec Clara aussi. Des créatures à venir. Des personnages de retour dans nouvelle phase de l'aventure... Mais aussi et surtout un concentré d'énergie! Et qu'il regroupe en partie des images déjà vues dans les précédents trailers, version courte!



Bien, ce qui va suivre va être le fruit de mon imagination débordante. Spéculations sur le futur ( et le passé et le présent... Of course) d'une série et d'une saison qui entre dans une nouvelle ère.

Ces 1min06 révèlent-elles (sans le dévoiler les intrigues) toute l'énergie de la saison à venir? Je l'espère... Mais développons un peu, si vous le voulez bien! 

Cette bande annonce comprend toute l'énergie et la puissance que l'ont connait à la série depuis son retour en 2005. Avec peut être un supplément, excessif, explosions. Le tout accordé à des effets de ralentis antagonistes qui appuient à la fois l'énergie de ce début de vidéo et impose un rythme d'une lenteur singulière, typique des bandes annonces de blockbusters, plongeant le spectateur dans une ambiance tout à la fois oppressante, créant en lui (c'est ce que j'ai ressenti en tout cas) une envie d'accélérer les choses pour en arriver au point d'orgue de ce trailer : découvrir enfin le Docteur! Cependant, vous serez peut-être d'accord avec moi, mais pas de régénération sans explosions. La régénération en tant que telle, vu lors de l'épisode de Noël, a été plutôt soft à ce niveau. On se rappellera de celle du 10ème en 11ème Docteur, au milieu d'une pluie de flammes et d'étincelles. Cette bande annonce nous plonge dans une nuée semblable dès les premières images. Cela correspond-t-il à la suite immédiate de la régénération ou nous plonge-t-il plus loin
dans les intrigues de la saison... Seul l'avenir nous le dira!

A cette envolée lumineuse se mêle des sons proches de ce que l'ont peut entendre dans la saga Transformers. Ces grincements singuliers si spécifiques des transformations des robots. Ce son 

Une chose aussi qui m'a marqué. Le fait que le premier visage qui apparaît durant cette bande annonce (hormis cet œil robotique bleu si caractéristique, qui pourrait confirmer les impressions sur la voix rauque, dont on dit qu'elle serait celle de l'un des ennemis bien connu de notre cher Docteur... Bon OK, Davros, voilà, c'est dit... Mais rien ne le prouve! ) est celui de Clara, en gros plan. La jeune compagne du Docteur est devenue le lien, elle constitue le passage de témoin... Et le point de référence (comme l'est tout compagnon). Ce que nous n'avions pas connu dans l'histoire de 11th du fait qu'il se régénérait seul et laissait tout derrière lui! Et que, en y réfléchissant un peu, en fin de compte, ce que Moffat (oui, toujours lui) à essayer (avis perso) de combler en plaçant une enfant, la petite Amelia, que l'on a vu indirectement grandir en un seul épisode. 

Mais pour revenir à Clara, et ce n'est pas la suite de la vidéo qui me fera mentir, elle est définitivement la clé de voûte de ce trailer. La première a apparaître, celle qui émet des doutes à propos du Docteur, celle qui se pose des questions et celle qui reconnait se trouver face à un dilemme en regardant celui qu'elle pensait connaitre. 
Les images de la jeune femmes sont multiples, parfois rapide, comme sur le gros plan que vous pouvez voir ci-dessus, parfois toute autre, montrant la compagne du Docteur marcher dans l'obscurité à la recherche de... De celui qu'elle vient de perdre? C'est une possibilité pour la Fille Impossible!

Et lorsque le Docteur arrive enfin, précédé d'une image particulièrement sombre d'un homme, tournevis sonique en main... c'est au milieu du projection de lumière, d'étincelles jaillissantes de partout, pratiquement en ombre chinoise, dans un effet de ralenti spécifique marquant encore plus la puissance visuelle de cette image, de cette "naissance" dans la douleur. La voix nasillarde et rauque appuyant le fait que cette vie ne changera en rien des autres : La vie échoue de nouveau

Puis, soudain, la phrase, celle que tout passionné de la série attend, celle qui sonne comme un baptême : "Je suis le Docteur!". Les mots magiques qui, d'un coup, intronise la nouvelle incarnation comme étant bel et bien le Docteur! Cette réplique majeure s'accorde avec un regard caméra, appelant le spectateur à adopter ce nouveau visage, la musique appuyant ce regard d'un coup de synthé. Et dans ce regard, loin de la candeur enfantine que pouvait parfois porter les précédentes incarnation, le 12ème Docteur s'impose immédiatement comme étant une version plus sombre, pus torturée... Le regard d'un homme de plus de 2000 ans, portant avec lui le fardeau de nombreuses erreurs accumulées (ce n'est pas moi qui le dit, ce sont ses mots, juste un peu accommodés à ma sauce!)
Cependant, comme il le dit lui même,  il en responsable comme il l'annonce à celle qui demeure sa compagne... Il semble temps de faire quelque chose non?!

Entre cette adresse à la jeune femme et la phrase type "I'm the Docteur!", toute une multitude de créatures s'interposent avec toujours plus d'action et d'étincelles. Ce Docteur semble né sous l'emblème de l'énergie et du feu, dirait-on. Peut-être pour se préparer aux ténèbres vers lesquelles il prévoit de s'envoler... Car lorsque Clara lui demande où ils vont, il lui répond avec conviction et gravité : Vers l'obscurité! 

Quelle est cette obscurité, seul l'avenir nous le dira! Cependant, cela prouve la noirceur plus profonde qui semble entourer cette nouvelle saison. Ce jeu de clair-obscur, symbolique de la confrontation interne de ce
nouveau Docteur!

La suite de cette vidéo s’accélère soudain au rythme de la musique. Des séquences courtes, contrastant avec la lenteur quasi oppressante du début. Le Docteur et Clara se lancent dans de nouvelles aventures, retrouvant d'anciennes connaissances, emblématiques des précédents saisons, dont Madame Vastra est ici la représentante. Clara chute, le Docteur chevauche, le rythme s’emballe, les images se multiplient, un dinosaure traverse l'écran (Un T-Rex en plein Londres, cela à de quoi intriguer, n'est-il pas!). Le Tardis vole de manière désordonnée, des Daleks envahissent l'écran...

 Et puis soudain, tout se calme. A bord du Tardis, le Docteur pose la question que tout le monde se pose concernant ce nouvel homme. Et que les images, sombres, angoissantes pour certaines, et que la voix dérangeante est venue appuyer de son appréciation.

Clara dites moi, suis-je un homme bon?

Et la réponse tombe, la jeune fille expliquant d'une voix hésitante :
Je… Ne sais pas

Que dire de plus après ça... La question demeure toujours là même : Qui est le Docteur? Et elle demeure toujours en suspend. Mais cette fois, à celle-ci, s'ajoute un qualitatif. Le Docteur est il un homme bon. On aurait envie de répondre oui, connaissant l'ancienne version. Mais celui-ci, l'est-il tout autant?

Le plus grand mystère reste en fin de compte entier. Cela n'a rien à voir avec quelle menace sera là, de retour ou nouvelle arrivée, quelle planète sera visitée... Quelle aventure attendra nos héros. Non, le grand mystère, celui pour lequel nous attendrons fébrilement une réponse, sera : Le Docteur est-il toujours un homme bon?!

Merci à Gallifrance pour m'avoir permit d'utiliser leur vidéo version sous-titrée!

dimanche 13 juillet 2014

Jeu Part five

Une fois de plus, le démon des photos a frappé. Ma chère Idwy n'a pas été tendre avec moi, je dois l'avouer... (Mais oui, j'adore toujours!) Ou plutôt, si elle l'a été... Enfin à vous de décider. Quoi qu'il en soit, je vous souhaite une bonne lecture!


Disclamer : Vous connaissez la chanson!

Le Diable au corps


Quelque chose clochait depuis leur retour à Londres. Quelque chose clochait, mais il n'arrivait pas vraiment à mettre le doigt dessus. Rien ne semblait vraiment inhabituel. Pas de cris, de hurlements, de pleurs et de journalistes tentant de couvrir le dernier événement. Pourtant, il ne cessait d'en démordre, il se passait quelque chose.

Il regarda Rose. Elle ne semblait rien remarquer d'exceptionnel. Le Docteur et elle s'étaient posés près d'un centre commercial à quelque distance de l'appartement de Jackie. Le Tardis reposait dans un petit square. Ils étaient en train de marcher gentiment bras dessus-bras dessous.

Mais au fond des cœurs du Docteur, il y avait toujours quelque chose qui clochait. C'était probablement dans les détails que cela se passait. Mais même en se concentrant, il ne parvenait pas à repérer quoi que ce soit d'exceptionnel.

Ils arrivèrent à Powell Estate. Un jeune homme les croisa en courant, montant quatre à quatre les escaliers menant au deuxième étage de l'immeuble de Jackie. Il frappa à une porte et se précipita à l'intérieur, un sourire béat sur le visage.

« Ah l'amour... » Ne put s’empêcher de lancer Rose. 

Le Docteur la regarda avec étonnement.

« Quoi ? Une remarque comme une autre... S’esclaffa-t-elle. Depuis le temps que Marc fait sa cour à Michelle, il était temps qu'elle le remarque. C'est un gentil garçon et si je... Si je n'avais pas été avec Mickey... »

Le Docteur avait remarqué l'hésitation de sa compagne mais se retint de la relancer sur le sujet.

Lorsque Rose commença à son tour à monter les escaliers, elle manqua de se faire percuter par une autre de ses voisines.

« Francine ! » Lança joyeusement Rose.

« Oh... Salut Rose... Pas le temps, Erwan m'attend... »

La jeune femme laissa passer son amie pressée, les yeux ronds. Le Docteur remarqua l'étonnement de sa compagne :

« Ah l'amour ? » Demanda-il.

« Ben... Vous pouvez le dire... Francine n'a jamais pu encadrer Erwan, elle l'a toujours trouvé bien loin de ses préoccupations en matière d'hommes, si vous voyez ce que je veux dire. »

« Oh... Le cœur a ses raisons que la raison ignore ! » Lâcha le Seigneur du Temps après avoir lancé un petit rire joyeux.

Arrivée à la porte de la maman de Rose, celle-ci commença à mettre la clé dans la porte – elle ne s'en était jamais défait. Mais le pan de bois s'ouvrit brutalement, Jackie se dévoila dans l'encadrement de la porte... Puis tira le Docteur par la manche et l'amena à l’intérieur, laissant sa fille, bouche bée, sur le palier.

« Maman ? » Lança-t-elle.

Mais sa mère était déjà en train d'embrasser fougueusement le Docteur, celui-ci essayant tant bien que mal de d'échapper de cette situation embarrassante.

« Maman... » Cria Rose. Mais Jackie lui ferma la porte au nez.

À présent enfermé dans l'appartement, Jackie toujours accrochée à lui, le Docteur mit enfin le doigt sur ce qui le turlupinait tellement depuis son retour sur Terre.

« Jackie... S'il vous plaît... Jackie... Vous voulez bien arrêter... » Essayait-il de dire entre deux assauts enflammés de la mère de sa compagne.

« Oh vous... » Ne cessait-elle de dire quand elle ne l'embrassait pas. Et sa force était impressionnante. Il décida d'employer les grands moyens à défaut de la force. Il n'aurait pas voulu blesser Jackie et ce même si leur relation, précédent cet emballement, n'était pas toujours placée sous les meilleurs hospices.

Le Docteur plaqua Jackie contre un mur. Elle essaya de l'attirer à elle. Il ne se laissa pas faire et, après maintes manipulations dont il aimerait oublier l'existence, il finit par enfermer Jackie dans la salle de bain.

Elle frappa de toute ses forces contre la porte, mais un coup de sonique sur la poignée finit de la bloquer dans la pièce d'eau.

« Oh Docteur, s'il vous plaît... Laissez moi sortir » Supplia la femme, mais il ne prêta aucunement attention à ses demandes et retourna chercher Rose, avec quelques précautions.

« Aucune envie de me sauter dessus ? » Demanda-t-il avec soin.

« Pas le moins du monde ! Lança Rose avec humour... (Pas certain que ses pensées soient aussi platoniques... Mais rien ne lui donnait cependant envie de plonger à corps perdu sur le Docteur à l'instant même!) Que se passe-t-il, Docteur ? Qu'est-ce qu'il arrive à ma mère ? »

« Qu'est-ce qu'il arrive à tout le monde, devrions-nous nous demander... »

Il ne finit pas sa phrase, laissant parler la ville à sa place. Depuis la rambarde, il vit des femmes se jeter littéralement sur un homme alors qu'une autre sautait sur le dos d'un pauvre monsieur qui semblait ne pas savoir quoi faire.

Le Docteur attira Rose à l'intérieur et ferma la porte à clé. La jeune femme pouvait entendre sa mère chouiner depuis la salle de bain des mots doux pour essayer d'amadouer le Seigneur du Temps. Peine perdue, si il était encore besoin de le mentionner.

« Que se passe-t-il ? » Recommença Rose, observant son ami s'élancer sur l'ordinateur de Mickey posé dans le salon. Encore grand ouvert, quelque chose disait au Docteur que l'ami de Rose avait du passer chez Jackie pour lui montrer une découverte importante... Et qu'il avait fini par s'enfuir en courant devant... Eh bien... Probablement devant les assauts effrénés de Jackie.

Exposant son idée à Rose, cette dernière ne pu s’empêcher de plaquer sa main sur sa bouche en signe de dégoût. Imaginer son petit ami repousser sa mère effrontée... Elle connaissait les penchants de Jackie pour les beaux garçons... Mais Mickey tout de même. Il n'entrait pas dans la compétition, il était à sa fille!

Puis soudain, un craquement violent fit sauter la porte de la salle de bain de ses gonds. Jackie se précipita dans le salon, ignorant avec superbe la présence de sa fille. Le Docteur lâcha son sonique, qu'il était en train d'utiliser pour améliorer les capacités de l'ordinateur de Mickey. Puis Jackie s'agrippa une fois de plus au cou du Seigneur du Temps, le poussant sur le canapé...

Rose se réveilla en sursaut. Assise dans son lit, elle était aussi essoufflée que si il venait de faire le plus terrible des cauchemars. L'image de sa mère et du Docteur, étendus sur le canapé de l'appartement de son enfance ne voulait pas la quitter. Puis elle commença à partir dans un fou rire. Où avait-elle bien pu pêcher une idée pareille?

Quand, tout à coup, elle se rappela une lecture... Sur la signification des rêves...

mardi 1 juillet 2014

Jeu Part four

Ce tour-ci est un tour un peu différent. Cette fois-ci, à mon grand plaisir, les rôles ont été inversé, j'ai proposé à mon amie très chère IDW2GO une photo. En quelques minutes, elle nous offre le cadeau de ce petit texte... Il faut avouer que je ne lui ai pas facilité la tâche avec cette photo :

Photo proposée par Aurélie
A mon humble avis, mon inestimable amie a relevé le défi haut la main!

Inoubliable

Sa Sérénissime Majesté Élizabeth d'Angleterre, Lumière de l'Empire et fiancée du Docteur observait les trois hommes. Elle fronçait les sourcils et détaillait les trois personnes, depuis les souliers jusqu'à la dernière mèche de cheveux.

"Vous êtes le Docteur?"

"Oui." répondit War Doctor.
"Oh, non! Pas encore cette question!" se plaignit Eleventh.

"Vous le savez bien." répondit Tenth avec chaleur et un clin d’œil.

"La même personne? Vous vieillissez différemment? Vous changez de visage à mesure que les années passent? Vous êtes donc le plus jeune (en pointant Eleventh) et vous le plus vieux (en pointant War Doctor). Et vous... vous êtes juste parfait (en pointant Tenth)."

"Ehm... eh bien..." balbutia Tenth.

"Ce qu'il veut dire, coupa Eleventh, c'est que la modestie qu'il ne possède pas est sur le point de lui faire dire qu'il se trouve effectivement parfait. En fait, je suis le plus âgé et 'Grand-Dad' est le jeunot."

"Vous vieillissez à l'envers donc!" s'exclama Élizabeth avec étonnement.
"Je vais vous expliquer les choses clairement." intervint War Doctor. "Nous vieillissons avec le même visage, mais au moment de notre mort, nous... changeons de visage. Et de corps. Nous possédons ainsi plus d'une vie. Je suis à ma neuvième vie. Lui en est à sa onzième et lui à sa douzième."

"La même personne en plusieurs exemplaire! Et il n'y a pas aucun doute que vous êtes le même homme?"

"Aucun." promit Eleventh.
"Alors vous vous rappelez que nous nous sommes fiancés." dit-elle en foudroyant du regard Eleventh. "Vous le saviez depuis le début de ces événements." ajouta-t-elle avec un ton de reproche.

"Eh bien... les événements sont un peu compliqués et influencent ma mémoire alors..."

"Et que pensez-vous de ce futur où vous serez le co-souverain du plus grand Empire du monde?" demanda-t-elle avec un coup de fouet dans la voix à l'égard de War Doctor.
Avec sa veste de cuir, sa barbe grise, ses yeux tristes et sa voix chevrotante, l'individu semblait moins agréable et fringant que la version en vêtements rayés. Qu'importe. Sa propre beauté se fanerait un jour, mais dans un jour très lointain grâce à Dieu, et les cheveux gris et les rides se mettraient de la partie.

"Vous voulez dire que vous ne vous souvenez plus de votre promesse d'épousailles?" demanda-t-il à Eleventh.

"Je m'en souviens parfaitement bien, moi." promis Tenth avec calme.

"Mais lui a oublié. Ou il a pris cet engagement de fidélité éternelle un peu à la légère." rétorqua la Reine.

"Je suis désolé." dit Eleventh.

"Ce n'est pas entièrement sa faute." fit Tenth.

"Ah non? Serait-ce la mienne?" s'exclama la Reine.
"Jamais de la vie!" s'écria Tenth. "Mais les événements mettant en jeu plusieurs versions du même Seigneur du temps ont tendance à devenir... ehm... timey wimey."

"Ce qui ne veut rien dire du tout, vous en conviendrez." confia War Doctor.

"J'ai une solution pour vous forcer à vous rappeler ces instants." affirma la Reine.

"... vraiment?" dit Tenth avec une certaine crainte.

"Oh non... pas encore..." gémit doucement Eleventh en fermant les yeux.
War Doctor se mordait l'intérieur de la joue et ses yeux pétillaient de malice, voyant déjà comment Élizabeth réagirait.

"Mon amour, il faut rendre ses instants inoubliables. Et pour commencer, venez un peu par ici."

Elizabeth enroula ses bras autour du cou de Tenth et l'embrassa passionnément, mettant toute son ardeur et son amour à effectivement rendre ce moment immortel. C'était le mieux qu'elle pouvait faire sans enlever sa robe.

Et l'idée lui vint que si elle épousait le Docteur, elle aurait à sa disposition, en théorie, une douzaine d'époux différents. Doux Seigneur... est-ce que son lit serait assez large pour une telle nuit de noces? Et pendant que ses lèvres touchaient celles de Tenth, elle se dit que, pour le moment, le corps de celui-là était suffisamment mince pour ne pas avoir besoin de commander un lit plus grand.

Derrière Tenth, Eleventh et War Doctor souriaient de connivence.